La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

RUBRIQUE Domaine étranger
Proses

Les articles

Chiennes de garde

de Dahlia de la Cerda
Ni dieu, ni mec Avec ses Chiennes de garde, Dahlia de la Cerda en met plein la vue – et même la gueule. Petit traité de féminisme et de survie dans la jungle mexicaine d’aujourd’hui. Gare à celui qui osera encore dire que les filles sont des mauviettes ou des salopes, qu’elles n’ont que ce qu’elles méritent, à savoir coups, humiliations, viols. C’est fini. L’heure est à la relève sinon à la révolution. Dahlia de la Cerda brandit une littérature d’un genre nouveau, combine des mixes plutôt contraires : des coups de poing et de la tendresse, un parler populaire, vulgaire, bruissant tout chaud du macadam et une finesse d’esprit à faire crever de jalousie nos piètres penseurs. Les onze nouvelles de son recueil Chiennes de garde composent une sorte de roman, puisque les...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Une fois, un jour

de Erri De Luca

Acide, arc-en-ciel

de Erri De Luca

Un nuage comme tapis

de Erri De Luca

Rez-de-Chaussée

de Erri De Luca

Erri De Luca : l’intimité comme expérience inépuisable

Ancien militant gauchiste, commentateur de la Bible, maoeuvre sur les chantiers, la Napolitain Erri De Luca est un écrivain en marge. Depuis son premier livre, publié en 1989, il tente de démêler les fils de sa propre histoire, métaphore douloureuse de toute une génération. Une oeuvre critique et intimiste, riche de pauvreté. Après avoir sillonné les rues et les villes d’Italie, découvert la France et passé quelques mois en Afrique orientale, Erri De Luca se repose de ses vagabondages dans la grande banlieue romaine. Depuis 1988, il vit au milieu des paysages à une demi-heure de la capitale. L’endroit est retiré et les petites routes sinueuses se fraient un chemin, au son des criquets, à travers les talus et les...
septembre 1996
Le Matricule des Anges n°17

Les Chiens de la nuit

de Enrique Medina

Un prophète de l’enfer

C’est la lecture du Voyage au bout de la nuit, à 16 ans, qui a donné à Enrique Medina l’envie d’écrire. « Le ressentiment de Céline, sa férocité et son impudeur ont produit la littérature la plus révolutionnaire de ce siècle ». Aujourd’hui, Medina, né en 1937 à Buenos Aires, est journaliste au quotidien argentin Página doce. Son œuvre, en grande partie inédite en français à l’exception de...
juin 1996
Le Matricule des Anges n°16

Yossik

de Joseph Bulov

La vie excessive de Bulov

Tout le monde n’a pas eu la chance de vivre une enfance misérable… Ainsi pourrait s’énoncer la devise de celui que l’on connaissait jusqu’alors comme le défunt animateur du Théâtre Juif de New York. Quand certains exhument à grand peine quelques pastels délavés du temps de leur enfance, Joseph Bulov (1904-1985) restitue ses premières années passées dans le ghetto israélite de Vilna...
juin 1996
Le Matricule des Anges n°16

Hôtel Seville : Rockaway Beach 1947

de Samuel Astrachan

Hôtel du nouveau monde

L’Américain Samuel Astrachan retrouve ses origines avec son deuxième roman traduit en français. L’histoire à la Tchekhov d’une famille juive. Si un hôtel est le lieu où l’on passe, il est donc une belle métaphore pour parler de la vie. Pour Samuel Astrachan, né à New York en 1934, issu d’une famille juive de Russie, il est fort à parier que l’hôtel dont il est question est aussi une véritable boîte à souvenirs. En 1947, l’Hôtel Sevilla est tenu par et pour des Juifs, originaires de la même région, là-bas, en Russie. On imagine...
juin 1996
Le Matricule des Anges n°16