Lmda N°191
En un long monologue-diatribe, Jakob Dehnel rend hommage, en même temps, à Thomas Bernhard et à la force d’interpellation de l’œuvre d’art.
Krivoklat est fou – du moins c’est ce que disent la justice et les psychiatres : il a déjà, à plusieurs reprises, aspergé d’ « acide sulfurique à quatre-vingt-seize-pour-cent » des chefs-d’œuvre de la peinture occidentale. Krivoklat fait semblant d’être fou : afin de pouvoir quitter l’asile pour accomplir de nouveau ce qu’il estime être sa tâche, son devoir, il se prête à « l’art-thérapie »...
Pour l’amour de l’art
mars 2018