La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

La rédaction Martine Laval

Message Envoyer un message

Martine Laval

Articles

Chiennes de garde

de Dahlia de la Cerda
Ni dieu, ni mec Avec ses Chiennes de garde, Dahlia de la Cerda en met plein la vue – et même la gueule. Petit traité de féminisme et de survie dans la jungle mexicaine d’aujourd’hui. Gare à celui qui osera encore dire que les filles sont des mauviettes ou des salopes, qu’elles n’ont que ce qu’elles méritent, à savoir coups, humiliations, viols. C’est fini. L’heure est à la relève sinon à la révolution. Dahlia de la Cerda brandit une littérature d’un genre nouveau, combine des mixes plutôt contraires : des coups de poing et de la tendresse, un parler populaire, vulgaire, bruissant tout chaud du macadam et une finesse d’esprit à faire crever de jalousie nos piètres penseurs. Les onze nouvelles de son recueil Chiennes de garde composent une sorte de roman, puisque les...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Enfants dans le temps

de Ricardo Menéndez Salmón

Écrivain par effraction

Le nouveau roman de l’Espagnol Ricardo Menéndez Salmón est une envolée surprenante aussi lyrique que métaphysique sur l’enfance et la littérature. Allez savoir pourquoi… Souvent dans les romans de Ricardo Menéndez Salmón, les choses – les événements, les histoires, les coïncidences, les personnages – vont par trois. Le Correcteur, La Philosophie en hiver, Débâcle – pour ne citer que… trois titres – décline chacun à leur manière le cours de l’aujourd’hui, l’Espagne, le monde, la littérature, la vie et la mort, certes, mais plus loin,...
février 2016
Le Matricule des Anges n°170

Suburra

de Giancarlo de Cataldo

Rome rouge sang

Crimes, débauches et tutti quanti. Signée Giancarlo De Cataldo et Carlo Bonni, une virée dans la cité romaine livrée aux gangs et au désespoir. Suburra ou la magie de réduire au silence les palabres existentielles : « Tu veux changer le monde. Mais le monde ne change pas. Il se gouverne. » Lecteurs qui avaient encore des illusions, qui aimeraient imaginer un peu de vérité, ou de sérénité – oubliez la tendresse ici elle n’est pas vraiment au menu – bienvenue dans le monde cruel plus vrai que nature du nouveau roman que Giancarlo De...
janvier 2016
Le Matricule des Anges n°169

L' Imposteur

de Javier Cercas

Le goût de la vérité

Avec L’Imposteur, l’Espagnol Javier Cercas nous entraîne dans la fabrique de la littérature. Quand notre besoin de fiction, de rêves, d’utopies, emprunte les chemins du mensonge. Quand on lit les livres de Javier Cercas, Les Soldats de Salamine, Anatomie d’un instant ou le tout dernier L’Imposteur, il faut rester vigilant. C’est l’auteur lui-même qui l’écrit : « Il faut rester vigilant. Si on ne l’est pas, on se fait niquer. Si on arrive à une conclusion sur lui (lui, Enric Marco, « le personnage » de L’Imposteur), on se fait niquer. Si on croit qu’on l’a compris et...
novembre 2015
Le Matricule des Anges n°168

« Il écrivait des choses terribles »

Un beau jour, à force de trimer, Carver osa faire du Carver. Ou Carver devint Carver, un type capable d’inventer des histoires si intemporelles qu’elles sont encore aujourd’hui pertinentes, qu’elles font toujours tilt chez le lecteur. C’est à cela, paraît-il que l’on reconnaît les grands écrivains. Ils ne défient pas le temps, ils sont hors du temps. Nombreux sont les lecteurs, écrivains ou...
novembre 2015
Le Matricule des Anges n°168