La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

éditions Flammarion

A propos

Trente pièces à Llamas Retour sur les planches du dramaturge Armando Llamas après des années d’absence avec des petites formes à jouer : une trentaine de textes très courts et plus corrosifs que jamais. Voilà plus de cinq ans qu’Armando Llamas n’était pas revenu à Paris. Juste avant de prendre son avion pour l’Espagne où il vit, l’écrivain nous donne rendez-vous place Gambetta, à deux pas du Théâtre de la Colline où il a travaillé avec Jorge Lavelli dans les années 80. Installé au Café du Métro, derrière ses lunettes noires -une coquette plaisanterie qu’il enlèvera dès notre arrivée- Armando Llamas observe la vie parisienne s’agiter au dehors. Il parle, parle, parle… opérant mille digressions, entre anecdotes et coups de gueule, dont il s’excusera à la fin de l’entretien. « Ça...
janvier 2001
Le Matricule des Anges n°33

Ouvrages chroniqués

Index alphabétique des titres

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V Z

F

Face devant contre
de Isabelle Garron
2002
Lmda N°43 Premier livre, si l’on excepte Le Corps échéant (Les Cahiers de la Seine, 2000), Face devant contre se présente comme une sorte de théâtre en cinq parties. Théâtre parce que le poème est d’abord sur la page comme un micro-espace scénique ponctué de signes (tirets, points, barres, etc.) où se réinvente le rythme de mémoires, de certains lieux, de certains événements. Théâtre aussi, parce que...
Face devant contre
mars 2003
La Face nord de Juliau onze, douze
de Nicolas Pesquès
2013
Lmda N°145 Le premier volume de La Face nord de Juliau (1988), sous-titré « tombeau de Cézanne », précisait clairement qu’il s’agissait de faire avec le mont Juliau (Ardèche) ce que Cézanne fit avec la Sainte Victoire : c’est-à-dire travailler sur le motif et sur ce qui ne cessera de s’étoiler à partir de lui seul. La vocation de se plonger dans la masse silencieuse (en apparence), organique, de Juliau...
La Face nord de Juliau onze, douze de Nicolas Pesquès
juillet 2013
La Face nord de Juliau, 17, 18
de Nicolas Pesquès
2020
Lmda N°220 Travailler sur le motif d’une colline, comme Cézanne sur la Sainte-Victoire, rend esclave d’une rage de l’expression, à laquelle Nicolas Pesquès se donne avec force et endurance. Depuis le premier volume de La Face nord de Juliau (colline ardéchoise de 1000 mètres d’altitude, aux jaunes intensément variés) paru en 1981, Nicolas Pesquès n’a cessé d’écrire face à elle, élaborant à chaque livre une grammaire spécifique de sa propre écoute, toujours sur le motif et selon sa face mentale transcrite. Poèmes, journaux, notes variables de fragments, dont les retours insistent...
Juliau, mille et une flèches
février 2021
Failles / traces
de Auxemery
2017
Lmda N°189 De l’étreinte du réel à la rhétorique de la dissolution, c’est la grandeur des signes que les hommes ont su tracer, qu’exalte Auxeméry. Tension, concentration, âpreté, tout n’est, chez Auxeméry, que densité portée à son plus haut degré, attention à ce qu’il reste de beauté dans le désastre du monde : des traces, des cicatrices, des empreintes où absence et présence s’entretiennent, renvoient à un passé toujours actif dans la mémoire ou enfoui dans l’histoire d’une humanité aux rites oubliés. Ce qui ainsi échappe et persiste,...
Vertiges secs
janvier 2018
La Femme lit
de Sophie Loizeau
2009
Lmda N°102 Au lit, au livre, au bain, la femme jouit, s’impressionne et s’étreint. Nouveau recueil de Sophie Loizeau. Femme sans fard, foncièrement sensitive et ouverte à l’infinie complicité de la lumière et de l’ombre, du désir et de ses racines animales, la locutrice de La Femme lit empale ses vertiges au silence imagé des miroirs. Elle roule ses rêves en la haute lavande de son lit, confie la barque de ses mots à la force très intime des courants somptuaires du plaisir se frayant une voie royale...
Le mythe de soi
avril 2009
Fenêtre sur jungle
de Henri-Frédéric Blanc
Lmda N°28 Huis clos pour cinq ressortissants de l’Hexagone, retenus par une bande rebelle dans le consulat français d’une ville d’Afrique imaginaire. Les renégats exigent un otage avant de se retirer. Reste à le désigner. Le consul et sa femme, un homme d’affaires, un entomologiste et une jeune institutrice jouent leur vie en une nuit. Que devient la relation humaine lorsque chacun est obsédé par...
Fenêtre sur jungle
octobre 1999
Figurations de l’image
de Anne-Marie Albiach
2004
Lmda N°54 Révélée au début des années 70 (elle est née en 1937) par la maison d’édition Orange Export Ltd., et presque immédiatement reconnue par sa propre génération, le travail poétique d’Anne-Marie Albiach inaugure, par un vers dispersé sur la page, la tentative de fiction de ce qui se « situe au-delà de la Voix », selon ses propres mots. Ce sera encore ce qu’endure son nouveau livre, Figurations de...
Le désir d’abstraction
juin 2004
Figure rose
de Emmanuel Moses
2006
Lmda N°78 Sous couvert d’une fluidité inquiète, les poèmes d’Emmanuel Moses exposent une dialectique déroutante entre l’être et le néant, la présence et l’absence, l’identité et son contraire. Entre romans, nouvelles, poèmes et traductions, Emmanuel Moses, né en 1959, n’en est pas à son coup d’essai. Son sixième volume de poésie non seulement témoigne de la familiarité de l’auteur avec l’élément littéraire, mais en plus il s’impose, et ce n’est pas courant, comme faisant partie de celui-ci. Si la forme utilisée est souple, et non toujours versifiée, et bien que la question de la...
De la vie, de la mort
novembre 2006
Fond de troisième œil
de Matthieu Messagier
2005
Lmda N°64 Ils soumettent le réel à la lumière noire de leurs vers en surtension et font de l’implosion le moteur de leur écriture. Une anthologie, et un nouveau livre de Matthieu Messagier, pour découvrir les poètes électriques. Ils étaient jeunes, frondeurs, « à l’affût d’une autre beauté, d’un autre désespoir », et n’imaginaient la poésie qu’insoumise et convulsive, grosse de ce pouvoir d’illumination sans lequel elle n’est rien. La poésie comme résidu de calcination, éclats sauvages surgis de la ruine exaltée du rêve, du langage, du désir. Des éblouissements, de l’hérésie, de l’insensé mûri au plus secret...
Beau comme impossible
juin 2005
Francis Picabia, rastaquouère
de Bernard Marcadé
2021
Lmda N°230 Insoumis, il a été comparé à un Christophe Colomb de l’art qui naviguerait sans boussole et n’a jamais obéi qu’au plaisir d’inventer. Bernard Marcadé lui consacre un livre ultradocumenté qui se lit comme un roman. Il aura vécu pied au plancher et sa peinture comme ses écrits n’auront jamais été que des reflets de sa vie. Une manière de dire oui à la vie, qui se traduisit par le goût du scandale, une soif d’événements, un incessant besoin d’amour, des achats compulsifs – de maisons, de voitures (il en posséda 127), de bateaux. « Je suis païen et immoral, j’ai toujours besoin de plusieurs femmes...
Picabia, marginal à jamais
février 2022

Auteurs

Index alphabétique des auteurs

A B C D E F G H J K L M N P R S T V

F