Lmda N°145
Avec Rubens, cet Homère de la peinture, comme disait Delacroix, c’est la peinture faite chair que célèbre Philippe Muray.
Quel dommage que Philippe Muray (1945-2006) n’ait plus fini que par écrire sur ce qu’il détestait. Car il savait aussi magnifiquement écrire sur ce qu’il aimait comme le prouve la réédition de son essai sur Rubens (1991). Un livre dont la verve flamboyante, la féroce et joyeuse appétence verbale relèvent du pur plaisir, de l’émotion érotique qui est à la source de l’intérêt qu’on peut...
Éloge de l’opulence
juillet 2013