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Le Matricule des Anges
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auteur Jack London

A propos

Un cœur ardent Aventurier du Grand Nord, chantre de la révolution, vagabond du rail et des mers, correspondant de guerre, fermier expérimental : Jack London (1876-1916) a montré toute sa vie son obstination à repousser les limites. Humain, si terriblement humain. Il écrirait. Il serait les yeux qui font voir le monde, les oreilles qui le font entendre, le cœur qui donne l’émoi.  » Oui, un jour, il se le jure, il sera écrivain. Il touchera du doigt la reconnaissance, la gloire. Il oubliera ce qu’il fut, un gosse mal aimé, abandonné sur le pavé, un miséreux parmi les crève-la-faim, une petite frappe des quais d’Oakland, travailleur précaire ou marin dur à la tâche. Il est tout en muscle, c’est un bagarreur, un solitaire. Il croit dur comme fer à l’ascension sociale, au rêve américain. Il sera monsieur Martin Eden l’écrivain. Celui qui se cache à...
juillet 2016
Le Matricule des Anges n°175

La vie qui déborde

Témoin d’un siècle naissant, Jack London n’aura pas « ménagé la régularité de son pouls ». Il vivait, écrivait et rêvait en grand. Retour sur une œuvre-vie folle, féroce et fraternelle, en compagnie de Noël Mauberret, spécialiste de l’écrivain californien. Originaire des Hautes-Alpes, dont beaucoup de ses aïeux émigrèrent en Californie au XIXe siècle, Noël Mauberret préside l’Association des amis de Jack London. Il dirigea la Jack London Society aux États-Unis, de 2012 à 2014. Il fut également le maître d’œuvre d’un chantier colossal : la réédition, chez Phébus, en 38 volumes, des œuvres de l’auteur de L’Appel de la forêt. Jack London, c’est...
juillet 2016
Le Matricule des Anges n°175

« London est arrivé trop tôt »

L’universitaire Véronique Béghain a « vécu » pendant des mois avec Le Peuple de l’abîme qu’elle vient de retraduire pour la Pléiade. Spécialiste de John Cheever, le « Tchekhov des banlieues », Véronique Béghain enseigne la littérature américaine et la traduction à l’Université de Bordeaux 3. Traductrice de Delmore Schwartz, Robert Graves, Scott Fitzgerald, Charlotte Brontë, elle a été chargée par la Pléiade de retraduire Le Peuple de l’abîme (aussi appelé Le Peuple d’en bas), à l’occasion de l’entrée de Jack London dans la...
juillet 2016
Le Matricule des Anges n°175

Ouvrages chroniqués

Les Joies du surf
de Jack London
2024
Les Joies du surf, de Jack London
Anthony Dufraisse
avril 2024
Le Matricule des Anges n°252
Article non disponible
Construire un feu
de Jack London
2013
Présomptueux petit point dans l’étendue blanche : un homme marche dans le Grand Nord. Étrangement insensible à la terrible inhospitalité du lieu. Seul, ou presque – à ses pas, un chien. Seul, avec le sentiment, nourri par le « sang chaud qui circulait allègrement dans ses veines », d’être « plus fort que l’hiver ». Comment « quelques centilitres d’eau » glacée – un pauvre trou d’eau caché sous la pellicule de glace – défont cette maîtrise illusoire et laissent l’homme irrémédiablement vaincu : c’est ce que décrit Construire un feu, cette nouvelle de Jack London dont les éditions...
Valérie Nigdélian
janvier 2014
Le Matricule des Anges n°149
Grève générale
de Jack London
2007
Jack London rencontra le socialisme sur la route, puis en prison. Il découvre « le spectacle de la fosse sociale ». Difficile de croire alors au rêve américain. D’où ces deux nouvelles publiées en 1909 où le bourgeois est habillé pour l’hiver. Dans « Le rêve de Debs », un nanti est pris de court par une grève générale. Au début, « C’était le chaos. Plus d’olives pour les cocktails ». À la fin, le déluge : affamé, il sauvera sa peau, pas son honneur. Pour conclure, inébranlable dans son rapport de domination, malgré sa traumatisante odyssée : « La tyrannie des syndicats dépasse les bornes...
septembre 2008
Le Matricule des Anges n°96
John Barleycorn (Cabaret de la dernière chance)
de Jack London
2000
Quatre ans avant son suicide, l’écrivain aux mille métiers Jack London publiait ses confessions éthyliques. Lucides, terribles, crépusculaires. Le Loup des mers (1904) présentait un capitaine inflexible, nietzschéen, rongé par un mal étrange, un « cancer de la volonté de puissance ». Auto-portrait ? Jack London (1876-1916), homme libre, aventurier, autodidacte, « écrivain du prolétariat », révolutionnaire, dénonça la sauvagerie de la société capitaliste. Il cachait en lui un être sous influence, dominé par un double terrible, destructeur. De l’âge de cinq ans à sa mort, l’auteur de L’Appel de la forêt (1903) vécut sous l’emprise de « John Barleycorn » (littéralement Jean Graindorge), terme argotique personnifiant le compagnon de...
Dominique Aussenac
juillet 2000
Le Matricule des Anges n°31