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RUBRIQUE Entretiens

Les articles

Reus, 2066

de Pablo Martín Sánchez
Accroché à la falaise du Je Avec Reus, 2066, dernier volet d’une trilogie, l’oulipien Pablo Martín Sánchez délivre un carnet intime dystopique plein d’humour et de gravité. L’écriture, la littérature peut-elle nous définir ? Et comment ? En élidant une lettre, fût-elle la plus usitée de la langue française comme dans La Disparition de Georges Perec ? Ou plus simplement (quoique ?) contenir son auteur comme chez Pablo Martín Sánchez ? Après s’être inquiété dans L’Instant décisif (La Contre Allée, 2017) des événements qui ont marqué le jour de sa naissance, être parti à l’assaut de son identité avec L’Anarchiste qui s’appelait comme moi (Zulma & La Contre Allée, 2021), le voici se projetant dans le futur de son lieu de naissance, Reus, ville au sud de la...
avril 2024
Le Matricule des Anges n°252

Il me semble toujours prendre les choses...

Lors de son entretien au Matricule N° 9, le jeune Mehdi Belhaj Kacem n’accordait que peu de respect aux écrivains contemporains. Seuls échappaient à son jugement sévère Julien Gracq (« cette vieille Baderne » et Pierre Michon pour lequel l’hommage avait été appuyé. L’auteur des Vies minuscules a lu Mehdi Belhaj Kacem avec plus que de l’intérêt. Deuxième volet d’une correspondance aiguisée. Il me semble toujours prendre les choses par plus bas que le bas «  Pierre Michon : Vous lisant, on est doublement agressé -et réconforté : on est d’un côté violemment immergé dans ce temps que nous vivons, dans cette mosaïque barbare de marginalités exaspérées et redondantes qu’est notre monde ; et on a en même temps l’impression d’être confronté à quelque chose de très ancien, la grande...
février 1996
Le Matricule des Anges n°15

« Je ne peux que rire de moi-même, si je me vois en train de bricoler du roman. »

Pierre Michon et Mehdi Belhaj Kacem ont, chacun de son côté, inscrit l’écriture dans un processus charnel d’une rare violence. Porteur, chacun, de pas mal d’estime pour le travail de l’autre, ils se livrent ici dans cette correspondance comme il leur a été peu souvent l’occasion de le faire. Premier volet d’une correspondance de deux exigences littéraires qui savent ne pas s’épargner. Mehdi Belhaj Kacem : Il y a toujours eu chez vous une défiance extrême à l’égard non seulement de la technicité littéraire, mais aussi à l’égard de la technique tout court ; ce qui a fait de votre œuvre la seule contemporaine à accéder au chant -ou en tout cas à ma connaissance à l’atteindre à ce point. En vous engageant dans l’ambitieux projet de L’Origine du monde, il vous était difficile...
février 1996
Le Matricule des Anges n°15

Jude Stéfan : la tentation d’exister

En Basse-Normandie, Jude Stéfan et ses doubles poursuivent dans l’isolement l’oeuvre d’une vie. VI offrent une nouvelle partition sur la chiennerie de l’existence. Promenade en Stéfanie. Sur la boîte aux lettres, pas de nom. Ce qui ne surprend pas quand on sait la maison habitée par un pseudonyme, un écrivain fantôme. L’autre, le professeur, a mis récemment un point final à trente-sept ans et demi d’une carrière d’enseignant de français, latin et grec. L’écrivain en parle sans dégoût ni regret. A la limite, ses heures d’enseignement lui permettaient de tuer le temps, de...
février 1996
Le Matricule des Anges n°15

Christine Angot l’ambiguë

Cruelle, tendre et impudique l’oeuvre de Christine Angot se donne tous les moyens de ne pas être prise pour ce qu’elle est : de la littérature. La preuve par le roman avec la sortie d’Interview. Dans Léonore, toujours (L’Arpenteur), Christine Angot proposait le journal d’une jeune mère écrivain, dont la naissance d’une fillette, Léonore, mettait en péril le travail d’écriture. Cette narratrice qui s’appelait aussi Christine Angot, renonçait à l’élaboration d’une œuvre pour, simplement, marquer à l’encre noire chaque jour passé avec sa fille. Le bonheur de la maternité (ses angoisses...
novembre 1995
Le Matricule des Anges n°14

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