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Christine Plantec

Articles

Au bout de la langue

de Martin Rueff
À cheval échappé Au bout de la langue est une cavalcade joyeuse et érudite au pays de la langue, « un parquet flottant sur lequel s’embarquer à plusieurs ». Traducteur, essayiste et poète, Martin Rueff explore dans cet opus la question de la langue et soutient la gageure d’aller jusqu’ « au bout de » celle-ci moins pour en venir à bout que pour se donner l’occasion de déambuler dans l’immense étendue de la question, à la manière d’un Montaigne, d’un domaine à l’autre du savoir et dans une sorte de savoureuse indiscipline. D’emblée, Rueff nous plonge dans la particularité sémantique du mot langue en précisant que la polysémie du terme ne doit pas occulter une autre spécificité qui est que le rapport entre les différentes acceptions du mot est...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Lignes brisées

Premier roman de la Hongroise Krisztina Tóth, Code-barres joue de l’inquiétante étrangeté d’être. Quinze narrateurs se partagent l’espace du récit de Krisztina Tóth : quinze narratrices plus exactement qui, depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte, construisent une histoire en forme de vitrail. Tóth est l’une des poètes hongroises les plus importantes de sa génération. Née en 1967 à Budapest, elle est également la traductrice de Yves Bonnefoy et de Guy Goffette. Dans Code-barres, elle bâtit...
juillet 2014
Le Matricule des Anges n°155

Ce qui ne peut se dire

de Virginie Lou-Nony

Traité de désobéissance civile

Avec Ce qui ne peut se dire, Virginie Lou-Nony propose une réflexion revigorante sur les ateliers d’écriture. Une approche politique de la littérature. Auteur de six romans – dont le très beau Eloge de la lumière au temps des dinosaures (prix du Premier roman en 1996) – Virginie Lou-Nony anime depuis une trentaine d’années des ateliers d’écriture. Ce qui ne peut se dire est le fruit de sa réflexion sur les creative writing qui, bien que très installés outre-Atlantique y compris au cœur même du cursus universitaire, ne bénéficient encore que...
mars 2014
Le Matricule des Anges n°151

La Limite de l’oubli

de Sergueï Lebedev

Le temps des apparitions

Dans un roman magistral, le Russe Sergueï Lebedev opère une lente remontée vers les sources du Mal : le Grand Nord où l’austérité silencieuse de la taïga règne sur les vestiges des camps de travail soviétiques. Rares sont les premières œuvres qui nous emportent au cœur même de leur puissance d’évocation et maintiennent ce cap. La Limite de l’oubli est de celles-là. Et même si le ton sentencieux du début fait sourire, on s’en veut rapidement d’avoir eu ce jugement alors que, de bout en bout, l’écriture assume une ambition tenue. Né en 1981, Sergueï Lebedev est un trentenaire héritier d’une histoire...
février 2014
Le Matricule des Anges n°150

Le Désordre azerty

de Eric Chevillard

Pour Eric Chevillard

de Collectif

Éric le fataliste

Pourquoi ne pas écrire selon l’ordre imposé des lettres d’un clavier français ? C’est le défi que relève Chevillard dans Le Désordre Azerty. Chevillard en aurait-il définitivement fini avec le roman ? Lui dont les dix-huit ouvrages chez Minuit ne cessaient d’interroger la question épineuse de l’auteur, aurait-il rendu les armes ? Après presque trente ans d’incongruités littéraires, Chevillard, dont la vaillance athlétique force le respect, aurait-il décidé, à cinq heures, de tordre le cou à sa marquise ? « A cinq heures,...
janvier 2014
Le Matricule des Anges n°149