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Le Matricule des Anges
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RUBRIQUE Entretiens

Les articles

Reus, 2066

de Pablo Martín Sánchez
Accroché à la falaise du Je Avec Reus, 2066, dernier volet d’une trilogie, l’oulipien Pablo Martín Sánchez délivre un carnet intime dystopique plein d’humour et de gravité. L’écriture, la littérature peut-elle nous définir ? Et comment ? En élidant une lettre, fût-elle la plus usitée de la langue française comme dans La Disparition de Georges Perec ? Ou plus simplement (quoique ?) contenir son auteur comme chez Pablo Martín Sánchez ? Après s’être inquiété dans L’Instant décisif (La Contre Allée, 2017) des événements qui ont marqué le jour de sa naissance, être parti à l’assaut de son identité avec L’Anarchiste qui s’appelait comme moi (Zulma & La Contre Allée, 2021), le voici se projetant dans le futur de son lieu de naissance, Reus, ville au sud de la...
avril 2024
Le Matricule des Anges n°252

Vassilis Alexakis : croquis d’un Grec

La Langue maternelle, le roman le plus grec de Vassilis Alexakis, ressemble à un tableau impressionniste. Sur la toile : une lettre sans signification, une mère disparue, des paysages dans le brouillard. Bref, de l’impalpable, montré de main de maître. C’est en haut d’un immeuble du XVe arrondissement de Paris. Impossible de se tromper de palier : la porte est bleue, d’ « un bleu marine très vif », une couleur que Vassilis Alexakis, comme il le raconte dans son autobiographie, Paris-Athènes, a eu du mal à trouver à Paris où se vendent de préférence des bleus ternes. On sonne. Vassilis Alexakis était en train de travailler à la version...
novembre 1995
Le Matricule des Anges n°14

Le surgissement lancinant de la mémoire

Lentement, Hugo Marsan parvient à imposer son univers particulier. Une élégance extrême comme réminisence constante de l’amour et de la mort. Sortie de Les Absents. Hugo Marsan nous accueille dès la sortie de l’ascenceur du petit immeuble situé pas très loin de La Bastille. C’est qu’il est très fier du palier où donne son studio de travail « Cela ressemble à un hôtel, n’est-ce pas ? » Puis il ajoute en souriant : « C’est que j’adore les hôtels… de luxe. » (Rires). A l’intérieur, assis sur son lit, il se met à questionner. Dans sa soif effrénée de...
novembre 1995
Le Matricule des Anges n°14

Frédéric Boyer ou le deuil de l’innocence

A 34 ans, Frédéric Boyer bâtit son oeuvre à trus grande vitesse. Pour cette rentrée, Les Innocents et L’Ennemi d’amour, ses deux nouveaux livres traquent la figure de l’amitié. La quête d’un homme pour l’idée de Dieu est inévitable. Pour Frédéric Boyer, tout est allé très vite. 1991 : La Consolation, son premier roman, paraît chez P.O.L ; 1993 : Des Choses idiotes et douces obtient le prix du Livre Inter. Viennent ensuite un essai consacré à Dostoïevski -Comprendre et compatir- et cinq nouveaux titres. Neuf livres en cinq ans : six romans, un essai, et deux volumes plutôt rebelles à la loi des genres. Une production...
novembre 1995
Le Matricule des Anges n°14

Pierre Dumayet au parloir

Les phreses de Pierre Dumayet sont comme sa voix : elles se cassent, adruptes lorsque le point les arrêtent.Rest alors en écho, la tendre ironie qu’elles portaient. Entretien avec un adepte du contre-pied. La scène aurait pu se passer dans Le Parloir, le dernier livre de Pierre Dumayet. Celui-ci était interviewé en fin d’après-midi. Il écoutait attentivement les questions, auxquelles il répondait, l’œil goguenard, en évoquant un peu Charles Martel, parfois Jeanne d’Arc, ou même la perversité des Anges. Il se souvenait de sa première publication en 1946, dans une revue dirigée par Queneau,...
septembre 1995
Le Matricule des Anges n°13

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