auteur Raphaële George
Ouvrages chroniqués
Je suis le monde qui me blesse
de
Raphaële George
2017
Avec la publication de son Journal intégral, c’est une Raphaële George se sentant fautive, fictive, piégée dans un mauvais destin que nous découvrons. Un désastre d’être qu’elle éclaire avec une sorte d’intelligence secrète.
Sous l’intensité parfois brûlante, c’est d’un corps dépaysé, cherchant constamment à se remettre en état de connaissance et en état de convenance, qu’émane le journal de Raphaële George, de son vrai nom Ghislaine Amon, née en 1951 et morte à 34 ans, en 1985, un mois après la parution d’Éloge de la fatigue avec Les Nuits échangées (Lettres Vives, 1985). Puis paraîtront, à titre posthume, Psaume de silence, Double intérieur et L’Absence réelle, écrit avec Jean-Louis Giovannoni. Des livres composés à partir de fragments extraits de son journal, qui apparaît donc comme le cœur de l’œuvre. ...
Eloge de la fatigue (suivi de) Les Nuits échangées
de
Raphaële George
1991
Il faut lire Raphaële George, et surtout vivre les pages incandescentes de son premier livre, Le Petit Vélo beige, publié en 1977 à L’Athanor, réédité depuis chez Lettres Vives et préfacé par Jean-Louis Giovannoni. Peintre, elle choisit d’écrire sous le nom de Raphaële George ce qu’elle portait de trop de poids, comme rendue à jamais à la grande épreuve d’être sur terre, jusqu’à ce point de fatigue où enfin se trouveraient du calme et du repos, de quoi respirer. C’est à cela que Raphaële George n’a cessé de revenir, dans les poèmes d’Éloge de la fatigue, dans Psaume du silence et par...
Psaume du silence (suivi de) Journal
de
Raphaële George
1986
Il faut lire Raphaële George, et surtout vivre les pages incandescentes de son premier livre, Le Petit Vélo beige, publié en 1977 à L’Athanor, réédité depuis chez Lettres Vives et préfacé par Jean-Louis Giovannoni. Peintre, elle choisit d’écrire sous le nom de Raphaële George ce qu’elle portait de trop de poids, comme rendue à jamais à la grande épreuve d’être sur terre, jusqu’à ce point de fatigue où enfin se trouveraient du calme et du repos, de quoi respirer. C’est à cela que Raphaële George n’a cessé de revenir, dans les poèmes d’Éloge de la fatigue, dans Psaume du silence et par...
Le Petit Vélo beige
de
Raphaële George
Il faut lire Raphaële George, et surtout vivre les pages incandescentes de son premier livre, Le Petit Vélo beige, publié en 1977 à L’Athanor, réédité depuis chez Lettres Vives et préfacé par Jean-Louis Giovannoni. Peintre, elle choisit d’écrire sous le nom de Raphaële George ce qu’elle portait de trop de poids, comme rendue à jamais à la grande épreuve d’être sur terre, jusqu’à ce point de fatigue où enfin se trouveraient du calme et du repos, de quoi respirer. C’est à cela que Raphaële George n’a cessé de revenir, dans les poèmes d’Éloge de la fatigue, dans Psaume du silence et par...