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auteur Jean-Luc Parant

A propos

Vision d'un home qui s'éloigne Jean-Luc Parant, artiste et poète, écrit toujours sur les yeux, sculpte des boules, tourne en rond et nous avec. Portrait de l’auteur en derviche tourneur, dans le tourbillon d’une parole envoûtante.Pour prendre de la hauteur. Il arrive que Jean-Luc Parant quitte le Bout des Bordes, « le plus petit royaume de la terre », à Fabas, dans l’Ariège, où il vit. Il arrive qu’accompagné de sa fille Marie-Sol au piano, Jean-Luc Parant donne lecture de ses textes sur les yeux, sur la terre qui tourne sans cesse autour du même soleil, sur l’infini qui est dans la tête de l’homme où s’inventent des jours et des nuits, où naissent toujours d’autres lumières. Il arrive qu’un charme opère alors. Creusant dans ses phrases qui toujours tournent autour des mêmes idées, des mêmes formulations, mais pour en pousser plus loin le...
mars 2000
Le Matricule des Anges n°30

Ouvrages chroniqués

Les Yeux quatre L'envolement des yeux
de Jean-Luc Parant
2006
Le poète construit d’inlassables et vertigineuses machines à voir le monde. Et l’immobilité devient mouvement. Jean-Luc Parant surprend. Mille fois sur le métier il remet son ouvrage et, chaque parution éclaire d’un jour nouveau sa monomanie : l’œil, les yeux, le regard. Ce tome quatre continue l’œuvre en cours, c’est-à-dire cet exercice de style qui consiste à parler d’un objet, sans s’occuper de son aspect. L’exemple scolaire de ceci reste le classique descriptif d’une boule de billard (la boule étant un autre objet de prédilection de Parant, une autre façon d’aborder le même sujet), qui n’évoque ni sa forme ni sa couleur. Tout élève finit par le découvrir : ignorer l’apparence physique,...
septembre 2006
Le Matricule des Anges n°76
Les Bibliothèques idéales
de Jean-Luc Parant
2006
Le poète construit d’inlassables et vertigineuses machines à voir le monde. Et l’immobilité devient mouvement. Jean-Luc Parant surprend. Mille fois sur le métier il remet son ouvrage et, chaque parution éclaire d’un jour nouveau sa monomanie : l’œil, les yeux, le regard. Ce tome quatre continue l’œuvre en cours, c’est-à-dire cet exercice de style qui consiste à parler d’un objet, sans s’occuper de son aspect. L’exemple scolaire de ceci reste le classique descriptif d’une boule de billard (la boule étant un autre objet de prédilection de Parant, une autre façon d’aborder le même sujet), qui n’évoque ni sa forme ni sa couleur. Tout élève finit par le découvrir : ignorer l’apparence physique,...
septembre 2006
Le Matricule des Anges n°76
Dix Chants pour tourner en rond
de Jean-Luc Parant
Poète et artiste, Jean-Luc Parant recherche unemachine qui pourrait mener l’homme aux étoiles aussi vite que ses yeux le mènent au soleil. Et nos paupières se lèvent pour donner la vue / et faire naître le jour devant nous / comme notre bouche s’ouvre pour nous donner la voix / et faire naître notre cri au-dehors / ou comme le sexe de la femme s’est ouvert pour nous donner la vie / et nous faire naître sur la terre. » La poésie de Jean-Luc Parant, puissante, obsessionnelle, répétitive, relève de la scansion, de la performance - l’artiste avait rempli, il y a une dizaine d’années, le musée de Villeneuve-d’Ascq, de cent mille et une boules (en terre cuite). Il dérange l’écriture en la poussant à ses limites, c’est-à-dire...
Dominique Sampiero
février 1994
Le Matricule des Anges n°7