auteur Jean Guerreschi
Ouvrages chroniqués
Histoires de la dame qui...
de
Jean Guerreschi
2023
Neuf femmes d’aujourd’hui dont le comportement singulier est particulièrement déboussolant pour les hommes qu’elles rencontrent. Neuf, dont celle qui apprit l’anglais avec un doigt, celle qu’on devait attacher pour qu’elle s’attache, celle qui avait la passion de rompre, celle qui voulait qu’on écrive sur elle, celle qui flatulait… Des femmes qui exigent, accaparent puis disparaissent au nom de leur liberté d’aimer. Entre farce et tragédie, tout glisse ici, tout dérape, les rôles s’inversent, les hommes ont des comportements d’enfant, les femmes se conduisent comme les hommes se...
Autres seins
de
Jean Guerreschi
2007
Dans Riyad, Jean Guerreschi lace et délace les nœuds invisibles qui lient la vie et les signes. Et dans Autres autres Seins, il clôt la trilogie qu’il a consacrée à la figure de proue du champ de gravitation du désir.
Il est des jours où la fatigue se mêlant à une lourde pesanteur d’âme, on se sent s’enfoncer dans une forme d’impuissance. Comme en ce jour où le narrateur, en partance pour le Maroc, ne peut s’empêcher de penser qu’il est en train de vivre « le matin du jour qui ne serait suivi d’aucun autre jour ». Mais malgré ce qui semble être l’annonce prémonitoire de sa mort, il ne change rien à son programme et se retrouve bientôt dans l’avion qui doit le conduire de l’autre côté de la Méditerranée. Depuis sa place, côté hublot, il aperçoit alors, sur l’aile gauche une drôle de corolle sombre qui...
Riyad
de
Jean Guerreschi
2022
Dans Riyad, Jean Guerreschi lace et délace les nœuds invisibles qui lient la vie et les signes. Et dans Autres autres Seins, il clôt la trilogie qu’il a consacrée à la figure de proue du champ de gravitation du désir.
Il est des jours où la fatigue se mêlant à une lourde pesanteur d’âme, on se sent s’enfoncer dans une forme d’impuissance. Comme en ce jour où le narrateur, en partance pour le Maroc, ne peut s’empêcher de penser qu’il est en train de vivre « le matin du jour qui ne serait suivi d’aucun autre jour ». Mais malgré ce qui semble être l’annonce prémonitoire de sa mort, il ne change rien à son programme et se retrouve bientôt dans l’avion qui doit le conduire de l’autre côté de la Méditerranée. Depuis sa place, côté hublot, il aperçoit alors, sur l’aile gauche une drôle de corolle sombre qui...
Bélard et Loïse
de
Jean Guerreschi
2010
Avec ce roman de la chair, qui conjugue la fleur de la jeunesse à la succulence de l’âge, ce sont aussi les rapports de force liant discours, gestes et affects qu’explore Jean Guerreschi.
Tendu, troublant, ponctué d’humour distancié, le nouveau roman de Jean Guerreschi peut aussi se montrer particulièrement bouleversant. Sous un titre qui donne le ton en faisant partiellement référence à l’histoire d’Héloïse et Abélard – l’une des expressions devenues mythiques de l’amour en Occident –, c’est à l’ardeur des champs magnétiques du désir, et à la découverte des nœuds invisibles de la vie et des signes, que nous invite Guerreschi.
Divisé en quatre parties – Les corps, La chair, L’acier, Le marbre – et rythmé par l’enchaînement de séquences nourries elles-mêmes des rythmes...
Autres seins
de
Jean Guerreschi
2007
Soixante-quatre autres variations d’un mammolâtre à l’érotique déculpabilisée. Les émois, les émerveillements et la verve débridée de Jean Guerreschi.
Les seins allant par deux, rien d’étonnant à ce qu’un an après Seins, apparaisse d’Autres seins. Outre l’aspect anatomique et l’indispensable équilibre, c’est aussi que le sujet est inépuisable tant la position qu’il occupe à l’avant-scène est une constante invite à le découvrir et à le redécouvrir…
Car comment être insensible à cette merveille d’innocence nue et de fragilité, à ce « bénitier de Dieu », à ces accélérateurs de passion, à ce foyer de sortilèges que sont les seins ? À l’instar de Jean Guerreschi, « l’amateur, le mateur, le laudateur de seins, le grand prêtre de la liberté...
Seins
de
Jean Guerreschi
2006
Qu’il s’offre au regard ou à la caresse, le mystère du sein reste entier. Deux livres, signés Jean Guerreschi et Jean-Luc Nancy, en font la source de leur amoureuse dévotion et de leur éloquence.
Difficile d’imaginer matière première plus enchanteresse. Emblème de la féminité, organe du don et de la séduction, lieu de révélation et de béatitude, le sein n’est-il pas l’incarnation même du désir de forme de la matière ? De la présence nue, portée en avant, « partage d’âme et de corps qui n’est rien d’autre, au fond, que le surgissement ou le tressaillement du langage », dit Jean-Luc Nancy. Le sein, ce mot « insinuant, glissant, sensible dans une brève montée de la voix et vite éteint, laissé à sa naissance, à sa levée dans la parole ». C’est ce commencement, ce souffle, cette...