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auteur Jacques Laurans

A propos

La lumière du noir Jacques Laurans nous offre les avant-derniers instants de sa mère. Poignant de retenue, de pudeur, intense et irradié. En exergue à L’Avant-dernier Jour, ces mots de Ferdinando Camon : « Un enfant jouait avec d’autres enfants à se cacher. Il fermait les yeux et croyait ainsi ne pas être vu. Il y a là quelque chose que je dois éviter ». Jacques Laurans n’a pas su, il est toujours cet enfant aux yeux fermés qui réinvente d’autres lumières. Sans âge, plutôt près de la soixantaine, d’une timidité maladive, il donne l’impression de vivre dans l’ombre, une très humble et peut-être inquiète austérité, cultivant dans ses écrits fragmentaires le miroitement des mots, les jaillissements de clarté, les bandes...
novembre 2003
Le Matricule des Anges n°48

Ouvrages chroniqués

Henri Thomas
de Jacques Laurans
2018
Le trop discret Jacques Laurans nous gratifie de deux ouvrages. L’un sur l’émoi, l’autre sur l’écrivain Henri Thomas. Gracieux et magnétiques. Faut-il lire Jacques Laurans en noir et blanc ou en couleur ? Ce cinéphile invétéré, né en 1943, cet esthète (il étudia aux Beaux-Arts, fut critique pour Obliques, la NRF, Jazz Magazine…) excelle dans le travail des ombres et de la lumière, les images, l’iconographie, les références à Kafka. Artisan, il cisèle des enluminures, récits autobiographiques, textes brefs, essais, livres d’artistes, poèmes… De La Beauté du geste (Le Temps qu’il fait, 1982) à L’Image d’un autre monde (Voix d’encre, 2016), en passant par Dans la salle obscure (Seuil, 1997), Pierre Soulages, trois lumières...
Dominique Aussenac
octobre 2018
Le Matricule des Anges n°197
Brune à l’encre rouge
de Jacques Laurans
2018
Le trop discret Jacques Laurans nous gratifie de deux ouvrages. L’un sur l’émoi, l’autre sur l’écrivain Henri Thomas. Gracieux et magnétiques. Faut-il lire Jacques Laurans en noir et blanc ou en couleur ? Ce cinéphile invétéré, né en 1943, cet esthète (il étudia aux Beaux-Arts, fut critique pour Obliques, la NRF, Jazz Magazine…) excelle dans le travail des ombres et de la lumière, les images, l’iconographie, les références à Kafka. Artisan, il cisèle des enluminures, récits autobiographiques, textes brefs, essais, livres d’artistes, poèmes… De La Beauté du geste (Le Temps qu’il fait, 1982) à L’Image d’un autre monde (Voix d’encre, 2016), en passant par Dans la salle obscure (Seuil, 1997), Pierre Soulages, trois lumières...
Dominique Aussenac
octobre 2018
Le Matricule des Anges n°197
L' Image d’un autre monde
de Jacques Laurans
2016
Et s’il n’y avait qu’un livre ? Celui que Jacques Laurans cisèle sous forme de miniatures, depuis plus d’une soixantaine d’années, mêlant récits autobiographiques, essais, livres d’artistes, critiques cinématographiques, littéraires ou musicales. Ici, en quelques brefs poèmes en prose, il instille à nouveau ses parts d’ombre et de lumière, révèle quelques nœuds de vie et de petite mort. A-t-il enfin trouvé sa place dans ce monde ? « Lointain,/Et si près de nous/On l’imagine seulement/On ne peut y entrer  ». Du soleil du Maroc qui l’a vu naître, il a toujours préféré la pénombre, celle des...
Dominique Aussenac
mai 2017
Le Matricule des Anges n°183
Pierre Soulages (Trois lumières)
de Jacques Laurans
Le peintre Pierre Soulages, on le sait, n’utilise guère que le noir pour peindre ses toiles. Au pinceau, au couteau ou à la spatule, le noir qui recouvre dans ses plus récentes œuvres la totalité de la toile lie la forme à sa matière même et fait sourdre une lumière qui tire sa force de sa densité. L’écrivain Jacques Laurans est un amoureux des cinémas d’avant, où la vie surgissait à la fois sur la toile et dans la salle. Le peintre vit à Sète, l’écrivain à Montpellier ; il n’était donc pas incongru qu’ils se rencontrent. C’est bien depuis cette rencontre et cette amitié que Jacques...
Thierry Guichard
janvier 2000
Le Matricule des Anges n°29