auteur Horacio Quiroga
Ouvrages chroniqués
Journal de voyage à Paris
de
Horacio Quiroga
2016
On connaît l’Uruguayen Horacio Quiroga (1878-1937) pour ses nouvelles fantastiques, genre si prégnant dans les lettres du Rio de la Plata et qu’il a presque inauguré. Ses Contes d’amour, de folie et de mort ont créé une dynamique de l’étrange et de l’inquiétant qui a fait école. On connaît également sa vie, où les malheurs n’ont cessé de s’enchaîner jusqu’à son propre suicide au cyanure. Mais avant cela, en 1900, année de l’Exposition universelle, il y a l’indispensable voyage à Paris, dont doit alors s’acquitter tout intellectuel latino-américain digne de ce nom. De ce voyage, reste un...
Contes de la forêt vierge
de
Horacio Quiroga
1998
La société est une jungle : le plus connu des fabulistes uruguayens, Horacio Quiroga, s’est certainement inspiré de cet aphorisme pour composer en 1918 ses Contes de la forêt vierge. Ces récits parodiques mettent en scène les animaux les plus extraordinaires dans une langue fluide et délicate. On trouve ainsi des coatis, petits carnassiers d’Amérique latine qui renoncent à la liberté pour l’amitié de deux enfants ou encore un perroquet qui trouve auprès des hommes le moyen de se venger de la férocité de ses congénères.
Ces contes étiologiques sont aussi l’occasion d’apprendre pourquoi...
Au-delà
de
Horacio Quiroga
Lire Quiroga, c’est ouvrir un triptyque dérangeant, funeste, où la mort, la folie et la raison se disputent le prix de la clairvoyance. Ce recueil composé de onze nouvelles par cet écrivain uruguayen décline avec une sérénité d’outre-tombe d’hallucinants cauchemars. Ambiance ténébreuse, désolation ; tout l’art de Horacio Quiroga est de fourvoyer le lecteur dans des chemins de traverse, de l’exposer à des récits communs mais tragiques aux confins du réalisme et du fantastique, de lui partager l’incroyable quête de ses personnages, puis de le rassurer par un baume bienfaiteur sur...