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auteur Stéphane Lambert

Ouvrages chroniqués

L' Apocalypse heureuse
de Stéphane Lambert
2022
Au terme d’un livre poignant qui explore l’origine de sa difficulté à habiter sa vie, c’est un nouveau rapport au désir d’écrire que décèle Stéphane Lambert. La question de l’intime et celle du processus de création convergent toujours chez Stéphane Lambert. Qu’il évoque ses morts (Mes morts, Le Grand Miroir, 2007), sa réalité corporelle (Mon corps mis à nu, Les Impressions nouvelles, 2013) ou la vie et l’œuvre d’artistes comme Beckett, Hawthorne, Melville, Rothko, de Staël, Goya, Spilliaert, ou Klee (tous chez Arléa), ce qui le requiert tient à ce qu’il reconnaît chez eux d’une façon de donner à voir ce qui gît hors de la clarté, d’ouvrir des labours vifs dans ce qui était censé les abattre ou les égarer. À une manière aussi de voyager sans...
Richard Blin
juin 2022
Le Matricule des Anges n°234
Visions de Goya
de Stéphane Lambert
2019
En se penchant sur les peintures noires de Goya, c’est la métamorphose du réel en art qu’explore Stéphane Lambert. Artiste emphatique, écrivain qui ne conçoit l’œuvre que comme réponse à un impératif interne, Stéphane Lambert est de ces créateurs pour qui l’art consiste à « faire de ce qui était censé nous abattre la matière première d’un grand réjouissement ». D’où l’importance qu’ont les vies d’artistes dans ses livres : Marc Rothko, rêver de ne pas être (2011) ; Nicolas de Staël, le vertige et la foi (2014) ; Avant Godot (2017) ; Fraternelle mélancolie - Melville et Hawthorne, une passion (2018), tous chez Arléa. Aujourd’hui, c’est Goya (1746-1828) qui le requiert, et plus particulièrement le cycle...
Richard Blin
mai 2019
Le Matricule des Anges n°203
Fraternelle mélancolie : Melville-Hawthorne, une passion
de Stéphane Lambert
2018
Le nouveau livre de Stéphane Lambert s’attache à l’amitié passionnelle qui lia un temps Melville et Hawthorne. Ce qui se dérobe, voilà ce qui fascine dans l’art et la littérature. Qui se dérobe mais que l’on peut deviner à travers ce qui converge avec ce que l’on porte en soi sans pouvoir l’exprimer, et sans souvent le connaître. De cette expérience, Stéphane Lambert – né en 1974 à Bruxelles – a fait le terreau de ses livres sur Monet, Rothko, Nicolas de Staël. Aujourd’hui, en s’intéressant à la rencontre entre Herman Melville et Nathaniel Hawthorne et à leur amitié aussi littéraire que passionnelle, ce sont les liens entre la création, la nécessité intérieure et les affects qu’il interroge à sa...
Richard Blin
février 2018
Le Matricule des Anges n°190
Avant Godot
de Stéphane Lambert
2015
Quand la peinture ouvre la voie à l’écriture : retour inspiré sur la rencontre fondamentale et fondatrice entre Beckett et Caspar David Friedrich. Qu’y a-t-il avant l’œuvre ? Par quel lent processus se cristallisent sensations, idées, solitudes, en une forme définie et partageable ? Quels en sont les déclencheurs, les accélérateurs ? Autant de questions auxquelles se frotte Stéphane Lambert en posant ses pas dans ceux de Samuel Beckett, avant que Beckett ne devienne Beckett, avant Godot. Retour en arrière donc, dans ce long temps de flottement, d’errances et d’incertitudes alors que l’écrivain, qui vient de renoncer à la brillante carrière universitaire qui l’attendait assurément, n’a pas encore trouvé sa place et sa raison d’être...
Valérie Nigdélian
février 2016
Le Matricule des Anges n°170