La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Mireille Havet

A propos

Les années Carnaval Pendant la moitié de sa vie, Mireille Havet a tenu son « Journal », dont voici le premier tome. Portrait d’un poète déchiré entre l’amour des femmes et l’abus des drogues. La « petite poyétesse », ainsi qu’Apollinaire la nommait, aura donc peu vécu (1898-1932), elle qui à 18 ans trouvait la vie « d’une prodigalité presque effrayante ». Elle aura surtout été en avance à peu près pour tout. C’est sa singularité. En quelque sorte sa signature. À 14 ans, alors qu’elle vient de se mettre à écrire des poèmes et des textes en prose, elle s’amourache de Paul Fort. Quand elle commence son « journal-monstre », selon le mot de Philippe Lejeune, quand elle entame une correspondance avec Apollinaire et publie sa première nouvelle dans Les Soirées de Paris, elle n’a...
juin 2005
Le Matricule des Anges n°64

Ouvrage chroniqué

Journal 1927-1928
de Mireille Havet
2010
Dans ce quatrième volume du Journal (deux sont encore à paraître), Mireille Havet (1898-1932) se détourne des questions littéraires pour évoquer ce qui la précipite vers sa fin : l’abus des drogues et les échecs amoureux. S’il lui arrive encore de fréquenter le grand monde, comme au temps de Carnaval (1923), qui figura sur la liste du Goncourt, côtoyant notamment Cocteau et Desnos, on la voit surtout se refermer sur elle-même, faisant l’apprentissage de la douleur physique et de la dégradation du corps. Tout le volume porte donc un seul et même cri, même si les pages alternent entre les...
Didier Garcia
juin 2010
Le Matricule des Anges n°114