La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Jean-Yves Bériou

A propos

Demeure fraternelle En rassemblant plusieurs recueils parus souvent de manière confidentielle, Jean-Yves Bériou impose une poésie à l’écart des modes mais à l’écoute du monde. C’est en Espagne, à Barcelone, que vit Jean-Yves Bériou. À lire Le Château périlleux, on pourrait penser le croiser sur les terres d’Irlande, de Bretagne ou d’Andalousie. Cette poésie semble venir d’une terre où la poésie peut exprimer les sentiments d’un peuple, entre tradition et révolte. C’est sûrement pour ces raisons que Jean-Yves Bériou a lu et relu les auteurs surréalistes, ne considérant pas seulement Breton et d’autres écrivains comme les simples représentants d’un mouvement littéraire mais comme des êtres saisis par le besoin d’une expression nouvelle, d’un désir de liberté et...
mars 2003
Le Matricule des Anges n°43

Ouvrages chroniqués

Le Monde est un autre
de Jean-Yves Bériou
2013
Lire Jean-Yves Bériou, c’est entrer dans l’orbe d’une mystérieuse forme de présence, se retrouver de plain-pied dans un monde où registres sensoriels et règnes naturels interfèrent. Un monde en constante métamorphose, où « des quatre points cardinaux, farouche, le temps s’avance », où « les échos sont des roses humides dans le regard des bêtes », où l’alouette a « la tête qu’on veut bien lui prêter / une tête de jazz à la marée montante ». Un monde où des émeutiers peuvent prendre le temps « de regarder au loin, passer les oies sauvages », où l’ombre « est un chien, peut-être »,...
Richard Blin
mars 2014
Le Matricule des Anges n°151
Le Monde est un autre
de Jean-Yves Bériou
2013
Lire Jean-Yves Bériou, c’est entrer dans l’orbe d’une mystérieuse forme de présence, se retrouver de plain-pied dans un monde où registres sensoriels et règnes naturels interfèrent. Un monde en constante métamorphose, où « des quatre points cardinaux, farouche, le temps s’avance », où « les échos sont des roses humides dans le regard des bêtes », où l’alouette a « la tête qu’on veut bien lui prêter / une tête de jazz à la marée montante ». Un monde où des émeutiers peuvent prendre le temps « de regarder au loin, passer les oies sauvages », où l’ombre « est un chien, peut-être »,...
Richard Blin
mai 2014
Le Matricule des Anges n°153
La Confusion des espèces
de Jean-Yves Bériou
2018
Configuration sans cesse en quête d’elle-même, la poésie de Jean-Yves Bériou cherche à capter la dimension sauvage et ininterrogée de la réalité. C’est d’une présence au monde, et d’un commerce avec lui plus ancien que l’intelligence, que procède la poésie de Jean-Yves Bériou. D’un temps où les êtres, les animaux, les choses n’étaient pas encore prisonniers de leurs formes et de leurs attributs. Un monde mouvant et libre où les registres sensoriels et les règnes naturels interfèrent, où « les cuisses bleues du noir » ou les « épaules du lointain » relèvent d’un réel absolu, de ce corps polymorphe d’un monde où tout est vivant, où tout est relié, où tout circule. Un monde qui se donne comme une énigme sans mystère, mais avec ses...
Richard Blin
juillet 2018
Le Matricule des Anges n°195
L' Emportement des choses
de Jean-Yves Bériou
2010
C’est le grand fabulaire de l’être réintégré au tissu de l’univers que chantent les poèmes de Jean-Yves Bériou. Entre défloration des signes et chant occulte de l’être, c’est la flamboyance noire d’images dévoilant l’horizon secret de ce qui lui brûle les yeux et la langue, qui frappe d’abord chez Jean-Yves Bériou. Plus qu’un recueil, L’Emportement des choses est un long poème témoignant d’une sensualité nomade et d’une perception légendaire du monde. Une manière de s’ouvrir à l’inconnu, de capter la résonance habitée d’un paysage, qui n’est pas étrangère au fait qu’il est aussi...
Richard Blin
mars 2010
Le Matricule des Anges n°111