La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Frédéric Cosmeur

Ouvrages chroniqués

La Route fantôme
de Frédéric Cosmeur
2007
Avec « La Route fantôme », voyage tellurique et aérien, Frédéric Cosmeur distille son romantisme noir en sondant des thèmes déjà abordés dans ses deux premiers récits. Si le titre d’une œuvre de Benjamin Fondane, Le Voyageur n’a pas fini de voyager, sert d’exergue au nouveau récit de Frédéric Cosmeur, les phrases liminaires appellent explicitement ce vers de Baudelaire : « Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre ». La silhouette d’une « sculpture monumentale » représentant une femme aux « seins démesurés » se découpe sur un fond de fascination et d’effroi. De cette « beauté » voluptueuse et tératologique, symbole de la « petite mythologie » de Julien, naissent d’infinies correspondances. Dans la « ruine bien-aimée » du château d’Hautecombe,...
Jérôme Goude
février 2007
Le Matricule des Anges n°80
Jean
de Frédéric Cosmeur
2001
Premier récit publié de l’auteur, Jean marque la révélation d’une voix nocturne et inquiète, celle de Frédéric Cosmeur, écrivain invisible. Frédéric Cosmeur souhaite rester hors champ. Son éditeur ne possède d’ailleurs aucune photo de lui pour orner son catalogue. L’auteur s’inscrit dans la catégorie des écrivains pour qui le livre se doit d’être la seule apparition publique. Le fait mérite d’être relevé et respecté, tant la surmédiatisation parvient à paralyser le phénomène littéraire, liant indéfectiblement la parole de l’écrivain à son visage, à son corps projeté brusquement sur le devant de la scène. La seule présence de Jean, sur les tables des libraires, devrait permettre la percée d’une nouvelle voix, grave, singulière...
Benoît Broyart
août 2001
Le Matricule des Anges n°35