La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Catherine Coquio

Ouvrages chroniqués

La Littérature en suspens (écritures de la Shoah)
de Catherine Coquio
2015
Que peut la littérature face au Mal extrême ? Catherine Coquio, en deux livres-sommes, établit un diagnostic – étayé et mesuré. Depuis qu’Auschwitz est devenu une sorte de soleil noir, fascinant et aveuglant, du XXe siècle et que le devoir de mémoire est devenu une sorte de vade-mecum du consensus citoyen, « L’Holocauste comme culture » (Imre Kertész) engendre, sans fin, ses thuriféraires, ses idolâtres – et son kitsch. La tombe dans le ciel, l’impossibilité de témoigner pour le témoin, le passé qui ne passe pas, après avoir été des métaphores puissantes et de taraudantes questions, ne sont plus, aujourd’hui, le plus souvent, que des lieux communs d’un nouveau Dictionnaire des idées reçues. Naguère déjà, Claude...
Thierry Cecille
juin 2015
Le Matricule des Anges n°164
Le Mal de vérité ou l’utopie de la mémoire
de Catherine Coquio
2015
Que peut la littérature face au Mal extrême ? Catherine Coquio, en deux livres-sommes, établit un diagnostic – étayé et mesuré. Depuis qu’Auschwitz est devenu une sorte de soleil noir, fascinant et aveuglant, du XXe siècle et que le devoir de mémoire est devenu une sorte de vade-mecum du consensus citoyen, « L’Holocauste comme culture » (Imre Kertész) engendre, sans fin, ses thuriféraires, ses idolâtres – et son kitsch. La tombe dans le ciel, l’impossibilité de témoigner pour le témoin, le passé qui ne passe pas, après avoir été des métaphores puissantes et de taraudantes questions, ne sont plus, aujourd’hui, le plus souvent, que des lieux communs d’un nouveau Dictionnaire des idées reçues. Naguère déjà, Claude...
Thierry Cecille
juin 2015
Le Matricule des Anges n°164