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RUBRIQUE Entretiens

Les articles

Le Grand Sommeil

de Raymond Chandler
Le vilain rêve De l’utilité de lire Le Grand Sommeil dans la retraduction de Benoît Tadié, qui rend au premier roman de Chandler sa singularité triste et toujours frémissante. Évidemment, on se souvient de l’adaptation d’Howard Hawks : clair-obscur au cordeau, récit au galop, érotisme incisif des dialogues Bogart/Bacall. Sauf que leur couple ne s’est jamais formé chez Raymond Chandler (où le détective Philip Marlowe repoussait toute manipulation des dames) ; que l’histoire y était beaucoup plus composite (Chandler ayant fondu l’intrigue de deux nouvelles antérieures, et se fichant assez d’une vraisemblance que le style seul se chargeait d’assurer) ; que la couleur d’ensemble du roman tirait, plutôt que vers le noir et blanc classieux consacré par la tradition,...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Le surgissement lancinant de la mémoire

Lentement, Hugo Marsan parvient à imposer son univers particulier. Une élégance extrême comme réminisence constante de l’amour et de la mort. Sortie de Les Absents. Hugo Marsan nous accueille dès la sortie de l’ascenceur du petit immeuble situé pas très loin de La Bastille. C’est qu’il est très fier du palier où donne son studio de travail « Cela ressemble à un hôtel, n’est-ce pas ? » Puis il ajoute en souriant : « C’est que j’adore les hôtels… de luxe. » (Rires). A l’intérieur, assis sur son lit, il se met à questionner. Dans sa soif effrénée de...
novembre 1995
Le Matricule des Anges n°14

Frédéric Boyer ou le deuil de l’innocence

A 34 ans, Frédéric Boyer bâtit son oeuvre à trus grande vitesse. Pour cette rentrée, Les Innocents et L’Ennemi d’amour, ses deux nouveaux livres traquent la figure de l’amitié. La quête d’un homme pour l’idée de Dieu est inévitable. Pour Frédéric Boyer, tout est allé très vite. 1991 : La Consolation, son premier roman, paraît chez P.O.L ; 1993 : Des Choses idiotes et douces obtient le prix du Livre Inter. Viennent ensuite un essai consacré à Dostoïevski -Comprendre et compatir- et cinq nouveaux titres. Neuf livres en cinq ans : six romans, un essai, et deux volumes plutôt rebelles à la loi des genres. Une production...
novembre 1995
Le Matricule des Anges n°14

Pierre Dumayet au parloir

Les phreses de Pierre Dumayet sont comme sa voix : elles se cassent, adruptes lorsque le point les arrêtent.Rest alors en écho, la tendre ironie qu’elles portaient. Entretien avec un adepte du contre-pied. La scène aurait pu se passer dans Le Parloir, le dernier livre de Pierre Dumayet. Celui-ci était interviewé en fin d’après-midi. Il écoutait attentivement les questions, auxquelles il répondait, l’œil goguenard, en évoquant un peu Charles Martel, parfois Jeanne d’Arc, ou même la perversité des Anges. Il se souvenait de sa première publication en 1946, dans une revue dirigée par Queneau,...
septembre 1995
Le Matricule des Anges n°13

Bernardo Atxaga : le renard dans la bibliothèque

Héros plus qu’il ne le voudrait de la littérature basque avec Obabakoak, Bernardo Atxaga refuse de devenir un écrivain national. Il appartient à une tradition culturelle, la littérature. Parution de L’Homme seul. Bernardo Atxaga n’en revient pas de pouvoir vivre de la littérature et poutant cet écrivain de quarante-quatre ans a déjà à deux reprises incarné la littérature basque. En 1974, d’abord, avec Etiopia, un recueil de poèmes qui a bouleversé la poésie basque. En 1989, ensuite, avec Obabakoak : Prix national (espagnol) de littérature, Prix de la critique (espagnole) et Prix Euskadi. Pour certains...
septembre 1995
Le Matricule des Anges n°13

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