La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

RUBRIQUE Égarés, oubliés

Les articles

Dubalu

de Bernard Waller
Du voyage en train Plein de mystères encore, Bernard Waller était le plus discret des romanciers. Dubalu, son représentant de commerce, révèle avec humour et subtilité un univers de personnages désarçonnés et touchants. Il faut souvent plus qu’un miracle pour que les créatrices et créateurs qui ont choisi la discrétion contre les feux de la rampe sortent de l’ombre. Le romancier Bernard Waller en est la démonstration achevée. Au point qu’on ignorerait presque sa date de naissance. Selon les sources observées, il serait né en 1933, en 1934 et en 1937, et apparemment ce serait plutôt en 1935. Et puis la camarde s’est chargée de mettre tout le monde d’accord. Il est bel et bien mort en 2010 (le 13 juin à Paris ?). Naturlich, aucune nécrologie publiée dans Le Monde ou Le Figaro. On n’y a droit que lorsqu’on...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Faut-il oublier Maurice Dekobra ?

Surnommé le "Paul Morand des midinettes", il a été à l’entre guerres le spécialiste du roman cosmopolite. Retour sur un best-seller oublié. Pseudonyme de Maurice Tessier, Maurice Dekobra (1885-1973) a été le plus anglo-saxon des écrivains populaires français, auteur de romans propices aux aventures singulières. Tiré à quatre épingles, parfaitement bilingue, il fréquente la bonne société européenne au Caire, en Chine et aux Indes. Des sociétés fermées qui passent leur temps à jouer au bridge et au poker. Il est l’invité...
septembre 2000
Le Matricule des Anges n°32

Les yeux d’Allendy

Pionnier négligé de la psychanalyse française, René Allendy était un acteur de la vie intellectuelle passionné par l’ésotérisme et le cinéma. Il fut le premier analyste d’Artaud et d’Anaïs Nin qui a laissé de lui un portrait cinglant. L’histoire de la psychanalyse est un guêpier. Des chicanes intestines aux querelles d’interprétation, les écoles se font la guerre et broient au passage le souvenir de certains. Celui de René Allendy par exemple, qui fut pourtant une personnalité, un authentique promoteur de l’homéopathie et de la psychanalyse. Cette qualité de pionnier n’a certes pas contribué à sa notoriété posthume...
juillet 2000
Le Matricule des Anges n°31

Michel Lebrun, grand pape du polar

Une centaine de livres publiés dont quelques joyaux comme Autoroute : cet homme orchestre du roman policier a vadrouillé dans les eaux troubles de la réalité quotidienne avec une irréprochable élégance. Le roman policier, le roman noir sont-ils conçus pour durer et, soyons optimistes, ont-ils une chance de braver l’épreuve du temps ? À lire les romans français des Presses de la Cité, du Fleuve noir dans leurs multiples collections des années 1950-1960, on découvre dans un fatras de publications des auteurs surprenants. L’un des meilleurs de cette époque glorieuse est sans conteste Michel...
janvier 2000
Le Matricule des Anges n°29

La modernité entre deux rives (Marcello-Fabri)

La destinée littéraire de Marcello-Fabri est emblématique de sa génération : écrasée par le souvenir de Mallarmé, elle a bataillé en vain pour des places au soleil que les surréalistes ont raflé sous ses yeux. Marcello-Fabri (avec le tiret) se nomme officiellement Marcel-Louis Faivre. Il est né le 17 juin 1889 à Miliana (Alger) et fait partie de la génération perdue qui dut trouver sa place entre le passage du cyclone Mallarmé et la tabula rasa de 1914-1918. Dans son essai sur Les Devanciers du surréalisme (Droz, 1971), Léon Somville lui accorde une place choisie entre Valéry, Claudel, Reverdy et...
octobre 1999
Le Matricule des Anges n°28

Auteurs liés